Master Droit de la santé - Biotechnologies & Droit 2024

UE 1 - Fondamentaux et compétences transversales

UE 2 - Introduction à la biologie

UE 3 - Biotechnologies

UE 4 - Anglais juridique

UE 1 - Compétences transversales

UE 2 - Stage ou projet tutoré

UE 3 - Propriété intellectuelle

UE 4 - Technique contractuelle

UE 5 - Biotechnologies

UE 1 - Communication & outils professionnels

UE 2 - Anglais scientifique

UE 3 - Biotechnologies

UE 4 - Valorisation scientifique et technique contractuelle

UE 5 - Environnement juridique

UE 6 - Jeu d'entreprise

UE 1 - Stage de 6 mois

Doctorat

Enseignant-chercheur ; chercheur ; avocat ; juriste d'entreprise, fonctionnaire d'Etat ou territorial ; consultant dans les cabinets spécialisés ; activités de conseil au sein des incubateurs ou des fonds d'investissement ; cadre d'établissements scientifiques etc.

Claire GOMMÉ.

Chargé de valorisation à l'INRAE

Issue d’un cursus atypique entre droit français et droit allemand, j’ai connu le Master Biotechnologies et droit dès mon arrivée en licence. Curieuse d’avoir des compétences dans les deux domaines, c’est ainsi que j’ai adressé ma candidature pour la promotion 2014-2016.
Ce master m’a apporté beaucoup de connaissances sur la recherche publique, sa valorisation, domaine dans lequel je travaille depuis 2016 (EPST, EPIC, Université, CHU, SATT...). Les juristes issus de ses formations comprennent mieux les réalités des laboratoires, ce qui facilite les relations avec nos interlocuteurs au quotidien. Le grand avantage de ce Master et la partie professionnelle avec le stage de six mois de fin d’études.

Mathilde BÛCHLER

Chargée d'affaires au CNRS

Le Master Biotechnologies et droit m’a initialement intéressée car il permettait de valoriser ma licence en droit, tout en me rapprochant des sciences, qui m’avaient « manqué » après mon bac S en 2010.
Le master m’a permis de rencontrer des personnes avec un point de vue, et une façon de fonctionner différente (biologie vs juridique). Ces échanges ont été enrichissants tout au long des deux ans, que ce soit avec les autres étudiants ou bien avec les enseignants.
J’ai pu faire mon stage de fin d’études au sein d’une société dans un cadre très juridique (droit du travail/droit des société). Suite à cette première expérience professionnelle, j’ai souhaité me rapprocher des sciences en cherchant un poste plus dans le domaine de la recherche/valorisation. J’ai ainsi trouvé un poste dans la valorisation de la recherche publique, avec la négociation des contrats et montages de projets auprès de différents laboratoires académiques.
Je suis aujourd’hui toujours dans ce domaine (désormais avec une activité principale sur l’ingénierie de projet, notamment projets européens).
Je dirais aujourd’hui que le Master B&D m’a permis d’avoir les outils me permettant de me lancer professionnellement, dans un domaine que je ne connaissais pas avant mon M1.